Oui, fidèles (et moins fidèles) lecteurs du Parnasse, la Papesse vous parle à nouveau et daigne porter sur vous un regard torve (ça fait moins sexy ?). Après la très riche et excellente année 2005, l’Occultation de 2006, la seconde période du Parnasse en 2007, voilà la troisième période du Parnasse qui débute donc en avril 2008.

Comme à l’habitude, mes apparitions sur la scène du Making francophone annoncent de grandes catastrophes. La dernière fois, c’était Deus, aujourd’hui, c’est un autre mal qui frappe les makers. Ce mal, ce n’est pas le retour du Parnasse et sa maudite Papesse (quoique), non, le mal, c’est la guerre civile. Et le siège de ce mal, c’est Oniro !

Oui, Oniro, il faudra t’attendre au pire, et le pire c’est la guerre !

Comment débuta cette guerre civile sur Oniro ? Par une succession d’évènements tous plus débiles les uns que les autres, qui pour un béotien apparaîtra comme une situation grotesque et complètement insignifiante, complètement triviale pour le coup.
Mais pour le maker pur et dur, qu’il soit croyant dans le custom ou le RTP, ou simple adepte soufi, cette situation réclame tout le sérieux

Tout commença quand le Hodja Ody, dit l’Odieux, prêcha sa foi à son habitude, comme saint Martin, avec un gourdin pour convertir la racaille paysanne.
Mais voilà que le Cadi Lowlow arriva et jeta au cachot le Hodja : ordre du Calife, le prosélytisme n’est plus toléré, tous les hodjas et les prophètes de malheur en prison, surtout ceux qui ne suivent pas les enseignement de la Révolution Bleue.
Ce Hodja avait aussi un frère, l’idiot du village qui avait aussi titre de Hodja, mais qui se prenait pour un prophète pour avoir vu l’apparition de la Vierge. On le jeta aussi vite fait dans les geôles du Calife après son esclandre sur la place publique.
Mais voilà, il arriva que l’Hodja Ody avait beaucoup de fidèles (un des méfaits de ce prosélyte) et très vite la discorde prit naissance dans le cœur des makers, du Guide de la Révolution au plus simple fellah.

Engoncé dans sa burka, Scrapi est menacé à un des nombreux checkpoint d’Oniro.

Oniro était un paradis du maker loin de toutes les tentations viles ? Non !
La Révolution Bleue qui porta les Gardiens de la Révolution du Making au pouvoir avec à leur tête le Grand Bleu, Gardien de la Foi, l’Ayatollah Sylvanor, se révèle être une dictature fallacieuse. Ils avaient promis le Grand Rêve Bleue, c’est en fait un cauchemar qui trouve désormais les fidèles floués dans leur foi du Making.

C’est ainsi que les réformistes furent écartés du pouvoir tels le maître soufi Molina Cyberia, accusé de concupiscence avec l’ennemi (accusation grave d’anulingus sur la personne de Shin). Très vite, tous les réformistes sont menacés d’expulsion quand ils ne partent pas d’eux même.
Les conservateurs qui détiennent ainsi tout le pouvoir sur Oniro font payer cher tout acte de libéralité. Le schisme est inévitable et l’Ayatollah Pymous pense en prendre son parti.

Et ce schisme n’a pas qu’une portée locale, mais internationale. Les moudjahiddines du Braisn parlent déjà de s’immiscer dans le conflit qui leur pourrait être très profitable.
Mollah Masta, dont le siège de sa foi à ImagieNation s’est dépeuplé de ses fidèles à cause de la Révolution Bleue affirme à ses fidèles : « C’est pour ça qu’une bonne guerre contre le braiSN aurait fait du bien. ».
Et le Hodja de Cordoue, Saturnome, d’affirmer par son analyse financière : « Oniro c’est pas trop ça, ils ont des actions en bourse et leur trimestre financier se termine dans un mois c’est important. ».

La barbe et les cheveux longs : les mollahs sont à la mode dans le making.

 


Oui, j’emmerde le monde, mais je le sauve aussi durant mes temps libres.

Voici l’histoire non moins étonnante du serial hacker, que l’on connaissait sous les pseudos de Deus, Ernesto Che Guevara ou autre Thanatos.

L’histoire débute avec le hack de la Ligue et l’exécution de ses dirigeants. Stupeur dans Oniro où un Deus se manifeste comme l’auteur de l’attentat. Tout de suite après vient Eden puis Oniro.
Eden est rapidement hacké, Oniro résiste par deux fois sous les assauts répétés de Deus.

Le making connaît ainsi son premier terroriste.

Dommage pour lui, le Making, ce n’est pas les USA, et Deus n’est pas Oussama Ben Couscous.

Très vite, Deus, se sentant en confiance, vient me contacter. Allez savoir pourquoi. Tout le monde me trouve sympathique ces derniers temps, alors pourquoi pas notre hacker ?

Après de fructueux échanges j’arrache un par un ses secrets.
J’apprends ainsi ses cibles, ses méthodes, son identité, ses projets et ses petites manies. Le bougre, il n’avait plus aucun secret pour moi.

Le problème, c’est que dès le départ se mit en place une cellule anti-terroriste (aux grands maux, les grands moyens) dont je prenais moi-même la tête. Résultat, une belle flopée de makers étaient au courant de mes avancés et pouvait ainsi parer à tout attaque contre lui.

Comptant aussi sur notre plus grande alliée, l’arrogance de Deus elle-même. Aussi imbus de sa personne que DZK, avec le même complexe de la petite bite (oui, lui aussi faisait montre des chiffres de DL de son jeu).
Deus est complètement imbus de lui-même et de sa soi-disant toute puissance qui le met du coté de la justice.

Justice qui se traduisait à la fois par des pseudos quasi-divin, par une mise en scène grandiloquente et une haine implacable envers tout le making. Il s’identifie volontiers à des figures de libérateur (comme le Che), de divinité omnipotente ou punitive (Deus, Thanatos), et se prend volontiers pour le Kira du Making, punissant les « mauvaises » communautés, poursuivant depuis près de trois ans un œuvre destructrice révélant une haine sans fin.

Haine contre Jyuza d’abord lors de la grande décadence de Manka Dream, haine contre Horizons car ce site avait plus de visite que le sien, haine contre Oniro car le site était reconnu de par toute la communauté, haine enfin cristallisé en la personne de Sylvanor qui est tout ce que Deus n’est pas. Un maker de talent.

Mais sa puissance en faite ne se réduisait en rien. Il a autant de connaissance en hack qu’un enfant de 10 ans. Il ne profitait que de faiblesses qu’il avait soit créées, soit indiquées par ceux dont il abusait la confiance.
Petit hacker de seconde zone, il avait fait croire d’une grande expérience un temps. Un temps très court quand je vins à la connaissance de sa véritable identité.

Deus est en fait limité. Très limité. Il n’est pas un grand hacker, sa méthode fut simple et peu glorieuse : les principales failles, ce sont les mots de passe laissés dans les messageries privées.
Eh oui, le grand Deus n’était qu’une charogne qui regardait tout vos petits secrets, tels un odieux pervers fouillant votre intimité et mettant sa main dans votre fondement sans que vous puissez sourciller.

Et maintenant, l’identité réelle de Deus.

Ce maker se cache de la communauté depuis assez longtemps. Sa naissance se situe sur Manka Dream. C’était un boulet. Auteur d’un fan-game de surcroît. Sa participation aux Alex ne fut pas couronnée de succès comme il le souhaitait et c’est depuis cette époque qu’il voue une haine sans borne à Jyuza.
Participant à la création d’Horizons, il a installé les mods de cette même communauté lui permettant d’avoir les premiers mots de passe.
En groupe pour son fan-game de Final Fantasy VII, il avait aussi un projet de fan-game de Silent Hill.
Je suis… je suis ! Je suis !

E.B.B. ! Félicitations ! Vous avez gagnez 4 points pour Questions pour un Maker !

Hé oui, E.B.B. est notre coupable. Et il est fait comme un rat.

Ce maker lambda, qui se montre si peu sur la scène, est l’être le plus animé de haine de tout le making.
Il a la rancune tenace contre Jyuza qui avait fait une prophétie malheureuse : « un fan-game, ça abouti à rien » à l’époque de Manka Dream. Sans compter cette déception aux Alex d’Or.
Selon lui, FFVII mérite tous les éloges, c’est un jeu qui est téléchargé bien plus que Aëdemphia, sans compter que sans prétention aucune, c’est un jeu de qualité.
E.B.B. n’est finalement que le plus déséquilibré des makers, me détrônant de facto (je ne l’en remercierais jamais assez pour ça).

Et voici comment Mata Hiera sauva le making de la menace de Deus.
Je n’oublie pas non plus de remercier les valeureux membres du Conseil Stratégique du Making : Perséphone (qui se plaignait de ne pas être au courant), Saheyus (qui a été d’une grande aide pour savoir qui était Deus et atteindre le 100%), Ulrezaj (pas très présent, mais plein de hargne), Espadon (de la hargne aussi), Jewok (encore plus de hargne ?), Lorent (l’admin d’Horizons quand même, et il envoie la sauce), Moumou (avec son précieux savoir technique), Pymous (sert à rien mais amusant), Madocks (conseils machins famille tout ça), Cyberia (qui calme mes ardeurs), Bardamu (beaucoup de questions), Madocks (toujours de bon conseil), Lolow (qui habite près de Marseille et qui peut casser la gueule à Deus), sans oublier Sylvanor (>> Deus, je sais que tu m’en veux, mais canalise d’abord ta haine contre lui << Nonor t’es génial !).

Merci aux autres d’être divertissant, DZK en particulier qui pensait d’abord à Relm, puis à NSM d’être Deus et Jyuza, de croire dur comme fer que je suis toujours Deus.

Et merci à Deus, grâce à lui, il va alimenter la culture making pour les siècles à venir (je donne pas deux mois avant qu’on m’achète les droits pour un jeu).

 

Petit ajout : le forum du Parnasse est de nouveau viable. Le champ de bataille est ouvert

Le custom. Depuis environ un an, on nous rabache les oreilles avec ce mot magique : custom.

C’est bien simple, n’importe quel jeu qui intègre de ce fameux ingrédient magique devient obligatoirement digne de louange : ton jeu est custom ? Alors viens donc par là que je te fasse un bon gros léchouillage d’anus custom.
Il est évident que pour le fanatique du custom, c’est autre chose qui vous sera mis dans le fondement si c’est à base de RTP, voir de RIP.

Le custom n’est pas non plus à la portée de n’importe qui.
Preuve en est des nombreux projets estampillés custom.
Quid du scénar ? Du gameplay ? De l’ambiance ?
On avait avant les CMS et autre CBS. Aujourd’hui c’est un C tout court. C comme custom, C comme Connerie, C comme à Chier.
C’est un jeu de merde sans ambiance ? Oui ! Mais un jeu de merde custom !

Merci de cette précision qui change tout.

Après, n’importe quoi gribouillé n’importe comment sous Paint devient custom. Les Aventures d’un Avatar, ça aussi c’est custom non ? On est à la genèse même du custom.
Alors pourquoi est-ce qu’un gros newbie dans le style d’Ody vient quasiment s’attribuer la paternité du tout custom ? Nouveau guide d’une secte en pleine décadence. Nouveau réseau social du making en plein développement.

Il y’a même le custom du pauvre, adaptable au rip.
Regardons tous ces projets qui en regorgent. Au premier coup d’œil, on croirait voir du RIP ou de ces vulgaires RTP ! Horreur et miséricorde pour le customer chevronné ! Cachez ces pixels qu’ils ne sauront voir.
Là où notre piqueur de ressources de vieux jeux snes pourra trouver de la fierté, c’est d’avoir réussi à modifier le poil du cul du chara de Locke dans FFVI en mettant un Densité+ grâce au dernier Adobe™ Photoshop™ CS3 qu’il a vilainement craqué.
Et voilà, grâce à cette astuce, il a des ressources personnalisées (avec un léchage d’anus par Ody ou un de ses zélateurs en cadeau pour son entrée dans l’odyeuse secte).

A la fin, cet étiquetage custom a autant de valeur que le logo de la norme NF sur un jouet Mattel. Encore que le saturnisme fait moins de ravage au cerveau.


On avait pourtant dit à vos parents de ne pas vous bercer trop près du mur…

Je me souviens aussi d’avoir évoqué il y’a longtemps, dans un article du Parnasse, la communauté nippone et le fait qu’ils étaient obligés de faire leurs propres ressources s’ils voulaient être indépendants du RTP.
J’enjoignais même la communauté francophone de faire de même. On voit aujourd’hui le massacre.
Voilà Ody, ton article dédié ! Comme quoi, customisation ne rime pas qu’avec canonisation, mais aussi, et plus encore, avec sodomisation [de mouches].

Les brèves du Parnasse

Pour vous tenir informez tout au long de l’été, le Parnasse décide d’une affiche racoleuse comme toute bonne presse à scandale et vous offre des détails croustillants, des bruits d’alcôves et quelques non-dits sur ce monde impitoyable…

Les Brian d’Or
Ce n’est pas une blague. On savait longtemps que la contrefaçon touchait le making et que les chinois avaient du souci à se faire. Nous avions même eu un été les Couic d’Or qui reprenait le design des Alex, mais cette année, c’est Brian, héros des RTP dans l’ombre d’Alex, qui serait à l’origine de la contrefaçon. Il a immédiatement été interpellé par la gestapo du making pour subir un interrogatoire dans les règles.

RPG Maker est illégal
Un choc pour nos crétins noobs qui tomberont des nues, car oui, certains ne connaissent pas la vérité. Pourtant, on leur avait dit que ce n’était pas bon de télécharger illégalement les albums de Lorie…

Une sorcière sponsorise la Relite
Elle répondra à toute les questions des makers, même sur l’amour et la famille. Grâce à elle, les réponses les plus obscures et les plus absconses trouveront enfin une réponse (komment kon fait un CMS ?). Oniro songe à se doter d’un shaman.

« Sat est un salaud »
C’est ce qu’aurait affirmer le chat de Gargamel, précisant toutefois être toujours en bon termes avec le Canard Andalou.

Un nouveau virus
Méfiez-vous, bientôt, Battlefield Parnasse sera prévu en 2016 et sera d’ores et déjà considéré comme l’un des meilleurs de la série, initié après le brillant BF Manka Dream et suivi par une flopée de jeux tirés de la même licence.

La vague de chaleur touche les makers
Effectivement, c’est une population qui ne craint rien contrairement aux vieux, et cela ne fera baisser la productivité des jeux. Au contraire la vague de chaleur fera baisser la qualité, car une partie [peu] vitale chez les makers sera gravement atteinte : le cerveau.

Migration de noobs
RPG Créa se vide de sa substance vitale : les hordes sauvages migrent en masse (suivez mon regard…). Bientôt l’ouverture de la chasse pour contrer l’invasion des noobs tueurs.

IeN est mort
Le site est en maintenance déterminé (comprenez qu’il est en partance indéterminé). Un nouveau programme PHP fut inventé pour le site afin de tout les jours repousser la date marquant le retour d’un site déjà moribond.

DZK échappe au fisc
A l’instar de Johnny Hallyday, et malgré le couronnement de Notre Président Bien-Aimé Nicolas Sarkozy qui a promis nombre de cadeaux fiscaux, le maker charismatique DZK aurait affirmé vouloir changer de nationalité. L’Angleterre serait selon nos sources sa nouvelle patrie où il se cacherait des médias sous le nom d’Alan Pendragon. Nous pensons surtout qu’il ira en prison pour avoir créer une fausse maison d’édition.

Dans le prochain numéro, une interview inédite et des révélations encore plus croustillante !

Le blues du maker…

7 juillet 2007

Il paraît que le Parnasse est mort. Détrompez-vous !

Depuis la fin de 2005 jusqu’à aujourd’hui, 07/07/2007, jour divin par excellence, le Parnasse ne représentait plus une menace envers les pauvres makers. Mais est-ce un réel bien ?

Le making n’a désormais plus de garde-fou et on assiste à une véritable frénésie du marchandising dans le monde du making. C’est simple, si le making était coté en bourse, on serait parmis les valeurs galopantes du Nasdaq. Des forums songent à faire payer les membres, d’autres encore se sont reconvertis en agence pour l’emploi. Plus que jamais, on investi de l’argent dans le système.

Avant, l’argent investi dans le making servait pour payer serveur et nom de domaine. Mais avec le développement du making il fallait trouver de l’argent pour pérenniser ces ambitieux projets. C’est ainsi que débute une dérive grandissante qui nous amène à cet état de fait : le maker est devenu un vendeur. Pire, un dangereux capitaliste.

Après tout, c’est un marché juteux ; le marché francophone comporte 1.500 à 3.000 clients potentiels, tandis que le marché mondial doit tourner aux alentours des 20.000, avec une progression annuelle de 4,5% depuis la sortie de RMXP : le marché se porte très bien.

C’est évident, investissez dans le making ! D’ailleurs, si vous ne le faîtes pas maintenant, d’autres sociétés ont prévu de sauter le pas. Relite Incorporating System est en association avec l’A.N.P.E. et les agences de publicité tandis que RPG Création (plus gros capital dans l’entertainement) pense déjà à l’avenir en rendant ses services payant et à des prix défiants la concurrence (défiant même la gratuité !).

N’hésitez plus ! Le making, c’est désormais votre avenir (on comprendra surtout que pour la plupart d’entre vous, les études c’est raté, autant se contenter du making).
Et pour la remise en fonction du Parnasse, je vais décerner des awards pour les makers les plus talentueux dans ce monde cruel qu’est le making.
Il y’a trois awards :

L’award de la meilleure rentabilité
L’award du meilleur marketing
L’award du meilleur négrier

L’award de la meilleur rentabilité est décerné à GF, webmestre de RPG Créa pour son audacieuse idée, et que j’espère qu’il mettra en place (vu le QI des membres, ils vont à coup sûr casquer).

L’award du meilleur marketing est attribué à l’équipe de la Relite pour avoir fait de leur site une véritable vitrine commerciale du making.

Et l’award du meilleur négrier est pour… le Canard Andalou ; notre sac à fiente se prend pour un Sac-à-suchi en faisant une copie du planning de la série à succès Final Fantasy. Le dernier Rutipa’s Quest, RQ9, se déroule à l’instar de FFXIII en trois parties. Grâce aux méthodes d’exploitation japonaise digne d’un goulag, Saturnome est capable d’avoir le plus fort rendement en terme de game making. D’ailleurs, il prévoit sûrement de délocaliser sur un autre forum à la population plus jeune et plus travailleuse comme Oniro.
Notons aussi son intelligence : Sat n’a pas l’air d’y toucher, c’est un esclavagiste intelligent, peu se plaindront de ses traitements, normal quand on prend des masochistes ou qu’on leur fait miroiter la gloire.

Au secours, IeN reviens !

16 novembre 2005

Eh oui, ImagieNation, le grand centre du making, considéré comme un lieu saint par certains, va enfin revenir comme le Messie tant attendu ; il n’y a qu’a voir toutes ces hordes de boulets qui vont de nouveau converger vers ce point central, ce sommet diront certains, un gouffre selon d’autres.

La nouvelle a certes fait le tour de la communauté francophone depuis une bonne semaine, le Parnasse va donc refaire le point sur un site déjà vu comme le point de rassemblement majeur du making.

Mais que va-t-il advenir du Making avec le retour inespéré d’un site qui se faisait attendre ? Les autres sites auront-ils encore leur place après ce tremblement de terre nommé IeN ?

La première secousse de ce séisme sera tout simplement dévastatrice, et comme Cassandre, je prévois la chute de la Ligue ; eh oui, la Ligue ne sera plus comme avant ; surtout après le divorce de notre sac à fiente préférée avec le petit dictateur qui servait à l’héberger ; vous l’aurez bien compris, Jyuza se retrouvera une main devant, une main derrière, lâché par un Saturnome au mieux de sa forme qui s’envolera vers d’autres cieux emportant avec lui les gosses et les meubles ; les makers et les jeux pour être plus précis.
Il n’y aura qu’a voir ce gros mouvement, cette foule grouillante se diriger de la Ligue à IeN ; les rats quittent le navire avant que celui-ci ne sombre, certains le quittent même bien avant.
Notre canard commence déjà à faire ses valises ; la Ligue étant un substitut à IeN après son crash, Jyuza retournera à son état premier, abandonné de tous ; Jyuza le Nuage, je te plains !
Je plains surtout la bêtise d’avoir fait confiance à ce canard boitant sous le poids de sa méchanceté (c’est qu’un canard, ça pourrait mordre).

Mise à part le sac de la Ligue par IeN (par Saturnome pour être plus précis) ; je ne prévois aucune avancée supplémentaire.
Je doute que les makers quittent du jour au lendemain leur lieu de bavardage habituel, sauf les plus fervents (qui étrangement sont tous regroupés sur la Ligue) n’iront certainement pas plier bagages pour venir dans le nouvel IeN sitôt l’euphorie de l’ouverture retombée.
Mais qui sait ? Quelques makers désoeuvrés de la Yume viendront peut-être grossir les rangs ; il faut plus compter sur les makers nés sur IeN pour revenir à leur bercail même si la plupart, au bout du compte ont nidifié ailleurs (mais qu’IeN compte sur moi, je leur enverrai un chariot entier de boulets pour compenser la perte !).
Ceux qui misent par contre leur chemise sur un succès fracassant se retrouveront vite cul nu, et ils l’auront bien cherché.

Si IeN compte aussi sur sa renommée, IeN compte surtout par le manque de concurrence, mais c’est là où IeN pourrait se faire surprendre ; au cas d’une concurrence éventuelle, ce serait alors la course aux fédéralisateurs ; le plus grand nombre d’admins qui seront à même de pouvoir amener une masse de makers conséquente ; on peut dire que de ce coté, IeN serait très désavantagé n’étant qu’un résidu de la Ligue (et la Ligue étant un résidu de l’ancien IeN).

Mais après avoir passé tout les évènements possible (et fort probable) qui se dérouleront suite à la réouverture d’IeN, on est en droit à se demander si nous allons nous retrouver face à un vieux fantôme, un de ces cadavres putréfiant au pire, ou si nous verrons là la grande communauté messianique qui fera de chaque boulet un maker entré en religion ?

J’ose à peine me souvenir du premier IeN ; ses boulets légendaires qui s’éparpillèrent sur toute la surface du making comme à l’effondrement de la Tour de Babel, des invectives bibliques d’un Scrapidoh se prenant pour le nouveau messie (il en avait même l’avatar) énonçant des paroles plus scatologiques qu’eschatologiques et tout plein d’autres choses tout aussi horrible ?

Il semblerait au contraire que IeN ait abandonné tout idée de fonder une église du making.
Hélas, ils se sont reconvertis dans les attrapes-boulets, le parc d’attraction du making va enfin ouvrir ses portes.
IeN n’a pas encore pointé le bout de son nez que l’on doit déjà courber l’échine face à la nouvelle idole du Making ; après les piez et autres bêtises du genre, la soi-disante culture making s’entiche d’une nouvelle figure imposée par ce qui est considéré comme la Mecque du making francophone : un horrible gribouillis du nom de Prince Brume, ou plus exactement une sorte de dragon que l’on peut voir dans les parcs à thèmes débilisant pour petits obèses.

Seul résidu de la ferveur religieuse de l’ancien IeN ; l’habit de croisé de la nouvelle idole du making qui ravira les moins de cinq ans (et les boulets de moins de 15 ans).

Mais surtout, on sait qu’IeN sera dominé par l’ombre grandiloquente du Canard Andalou, celui qui prend un maker lambda comme Jyuza, en fait un monstre de la communauté pour s’en servir à ses fins et le jette ensuite comme une vieille chaussette ; ce canard est un véritable parasite à la recherche constante de personne pouvant lui faire le site de ses rêves ; celui qui rassemblera tout les makers sous une même férule, dictant sa façon de voir le making a travers ce que l’on nomme culture making un vaste programme de propagande avec à sa tête ce cher Saturnome ; preuve en est du superbe dessin disponible sur la page de réouverture d’IeN ; voilà matière à faire des jeux sans scénario pour remplacer les RUTIPA’s Quest.

Vilain canard pas gentil et pas bô ! Je me demande comment tu fais pour trouver encore des gogos pour avoir confiance en toi ; heureusement qu’après avoir démarché pas mal de makers (et pas mal de vents surtout), tu as enfin retrouvé Masta après ses quelques mois de coma.
Pauvre Jyuza, personne ne le plaindra par contre ; on verra pour une fois un maker mis au ban du star system par la traîtrise du canard ; ce que Saturnome donne, il le reprendra ensuite ; on pourra toujours retenir cette leçon.

Il faut aussi prendre cet article comme un refus de ma part à la proposition scandaleuse de Saturnome ; aussi bien, offre ce que tu m’as proposé à Jyuza, il le mérite sans doute plus que moi (enfin, il ne le mérite pas, mais besoin, oui).

IeN sera… ou ne sera pas (et fera le flop du siècle à ne pas en douter).

Déclaration

2 octobre 2005

Mettons les choses au clair, le Parnasse n’est certainement pas un site qui a pour vocation de montrer la perfection ou quoi que ce soit d’autres envers le reste de la communauté.
Le Parnasse n’a pas l’arrogance que l’on peut prétendre comme certains le laissent entendre, le Parnasse n’a pas l’affront de dire qu’elle est seule dépositaire de la « lumière du making » ; eh non, je ne suis pas Saturnome qui lui estime que ses chers fast-games sont la lumière du making, la seule voie possible, rejoint par d’autres qui l’enjoignent à détruire tout ce qu’il y’a de ramassis du making à leur sens, de détruire tout ceux qui considère le making comme un simple jouet de gamin.
Le Parnasse ne vas pas plus loin que ce que Saturnome peut penser d’un coté et dire de l’autre, le Parnasse n’est pas hypocrite au moins.

Le Parnasse n’est pas non plus une base avancée du fascisme du making ou antisémite, le faisant sortir de son contexte, comme se complaise à le croire des imbéciles nés tels que Juyza qui dans un élan d’exagération nous lance une magnifique tirade ;

« l’extermination des juifs pendant la 2nd guerre mondiale aussi, c’était qu’un avis parmi tant d’autre. »

Une belle phrase lancée par Juyza lui-même dans toute la bêtise dont il est capable, approuvé tout aussi bêtement par un DZK qui n’a rien à envié à une brebis bêlant de plaisir : décidément, il n’y a plus de limite à la stupidité ; l’avis du Parnasse est donc à rapprocher à un avis antisémite ?
Tout avis contradictoire avec la pensée de la Ligue est bien sûr dangereux, à croire que je mange le pain de la Ligue, que le Parnasse est une menace réelle et les empêche de faire des bénéfices ? Cela ne m’inspire qu’une chose, du dégoût face à votre manque de sens.

Moi-même Jyuza je pense que tu es un danger pour la communauté, je ne saurais quoi mettre comme poster pour prévenir de ce danger ; hésiterais-je entre une gangrène purulente ou un nuage de pollution ?
En revanche, je n’aurais certainement pas la suffisance de dire ce que tu as dit, c’est dépasser de réelles limites que tu imposes pour les autres mais visiblement, pas pour toi.

Je vais t’enseigner une chose que ton petit esprit étriqué n’a visiblement pas conscience, c’est qu’une autre idée peut en combattre une autre ; tu veux combattre le Parnasse ?
Est-ce qu’en te montrant plus insultant que moi ? Plus bas que moi ? Plus vil ?
Qu’est-ce que tu crois ? Que cela marchera ?
Si tu avais suffisamment d’intelligence, tu aurais dû remarquer que pour combattre le Parnasse, il fallait au moins se montrer plus stoïque et plus intelligent, dans ton cas, au moins paraître plus intelligent.
On peut maintenant dire une chose, mes insultes ne font que montrer encore plus ton idiotie ; il y’a une différence entre des accusations d’antisémitismes qui sont fausses, hors de propos et de très mauvais goût, et une insulte bien sentie du genre « pauvre connard » qui ça, est visiblement avérée pour ton cas par l’accusation guignolesque irréfléchie dont tu nous affliges.

Mais maintenant, je renonce aux insultes, je renonce à la virulence, mais je ne renonce en aucun cas au Parnasse, ni à l’envie de te combattre toi et tout tes suivants et ce qu’il me plaît.

Cela vous fera sans doute une belle jambe, mais il y’aura au moins une chose dont vous n’aurez plus à me reprocher ; vous venez de perdre votre principal argument.

Regardez attentivement ces cinq screens :

Voyons, nous avons cinq grand jeux de grande factures, mais vous allez sans doute devinez où je vais en venir.
Ces jeux là ne vont bien sur subir un léchage en bonne en due forme, ils vont passer à la lessiveuse et voir leur gros défaut (uniquement graphique, le visuel compose tout de même la moitié d’une œuvre vidéoludique au minimum).

Alors, qu’est-ce donc que tout ces screens ?
Le dernier jeu à la mode ?
Devinez le créateur de chacun de ses screens ?
Ah, nous avons à faire à des clones ? Raël et sa secte de dingos ont-ils investis le making afin de découvrir le secret du clonage ?

Bandes noires pour effet 16/9 ; est-ce vraiment utile ? Mais pourtant tellement prisé.

Halo lumineux à tout vas ; à quand la découverte des autres fonctionnalités de PhotoShop ?

Filtre bleu pour cache misère ; très à la mode ces derniers temps, le bleu est une couleur qui détend et qui donne surtout sommeil, serait-ce pour amoindrir les capacités de critiques et se bercer doucement jusqu’à la fin du jeu ?
Une autre couleur peut aussi être envisagé, comme le orange, ou le bleu foncé (y’avais même vert en option).

Les chara en faceset, quelle sacrée invention ; on ne sais plus très bien qui commença avec cette idée de génie, mais ce fut vite très prisé.

Arial et moi, une grande histoire d’amour ; oui, Arial, c’est THE police d’écriture, normal, elle est en début de liste.

RTP pour beau jeu ; toujours les mêmes décors, les mêmes rips remis au goût du jour, mais on mettra tout ça sous une pluie de halo made in Photoshop et il n’y paraîtra plus.

Et voilà, les effets sont tellement stéréotypés que l’on arrive à des jeux très semblables.
Les graphismes sont donc comme aseptisés et il est dur de leur trouver un charme (sauf pour certains), ils auront toujours un arrière goût du précèdent jeu qui d’ailleurs, lui-même, à déjà un relent du précèdent et ainsi de suite.

Il est aussi très drôle de voir chaque maker se congratuler les uns les autres de ce florilèges d’effet, de trouver un charme étonnant, du charisme à des graphismes, de les trouver mieux que les jeux pros et de s’en féliciter à tous vas ; après tout, vous avez bien intérêt à féliciter le jeu de votre voisin, car au final, vous ne le féliciter pas lui, mais vous.
Bref, les fleurs ne doivent pas coûter cher ces temps ci.

A part de se démarquer dans le scénario (encore heureux !), il est vraiment inutile de s’extasier devant les stéréotypes actuellement proposé et qui se font de plus en plus nombreux, prouvant une fois de plus que l’innovation n’est pas un point fort, les francophones (et les makers en général) étant vraiment des macaques dont il suffit juste de montrer un tour afin que nos chers bonobos puissent reproduire les mêmes gestes.

Dire que certains avaient théorisés sur les ressources de Théodore comme nouveaux RPT, à croire que la fonction halo de PhotoShop est plus forte que tout, aujourd’hui, ça contribue largement à faire l’intérêt graphique d’un jeu et à forcer l’admiration de tous.

Tiens, mes propos sont moins virulents, j’aurais pu dire que les makers incriminés n’étaient que des gros lécheurs de cul qui flattent leur propre ego ridicule, et non, je ne dis rien de tel ; loué soit ma générosité ! Ha ha !

The Factory

7 septembre 2005

Eh oui, aujourd’hui, le Parnasse vous fera découvrir (ou redécouvrir) un site qui vient juste (enfin, depuis une semaine) de rouvrir ses portes après une courte période de coupure.

Il s’agit de RPG Maker Factory, plus connu avant sous le nom RPG Maker 2003 et XP ; ça fait tout de suite plus reconnaissable et c’est tant mieux.

En terme d’activité, ce site est l’un des plus actif de la communauté francophone (sans doute le plus actif), ce qui en fait un atout non négligeable en plus d’un contenu en perpétuelle évolution.

En revanche, ce n’est pas le nid à boulets tels que peuvent le décrire certaines personnes vraiment trop hautaines (ah ben ça et le sentiment de supériorité), le site est justement victime de son succès et son grand nombre d’entrée en fait une population jeune, inexpérimenté et nombreuse.
Pour remédier à ce problème, l’équipe d’administration à plusieurs solutions, dont de mettre les projets avancés dans une section approprié et de supprimer les projets dont les auteurs ne sont pas réapparus depuis un mois.
Ainsi, la population de makers occasionnel (makers du dimanche qui ne font du making depuis 3 jours et abandonne dès la première difficulté) est tout simplement laissée à elle-même, sans contradiction et sans énervement. Et ça marche.

Des projets très intéressant sont aussi à voir ;

ludwig
Ludwig dans le Monde d’en bas est un joli conte, très drôle d’Arafundow sur RMXP. Très rare de voir pour une fois un véritable humour, de la vraie satyre. Bref, du bonheur comme on en voit peu chez les autres.
L’esthétisme du jeu est aussi particulier, quoique trop inégale, c’est tout de même plaisant et rafraîchissant.


Le second jeu développé par Fabien (auteur aussi de Sous le Règne des Héros, Arc Arrière) est aussi un projet plein de promesses ; JVF2 (abréviation de Jeu Vidéo Fabien 2) est un jeu RMXP aux décors en image de synthèses, là encore le travail n’est pas trop uniforme mais le résultat pour la plupart des maps est convaincant.

Il reste plein de projets à découvrir et approchez plus près de ces extraordinaire makers (non, les vrais cette fois-ci, pas ceux auxquels ont pensent).

Avant de finir cette expérience sociologique, je tient à dire que ceux qui ont pensé que le Parnasse a passé l’arme à gauche se trompent, le Parnasse était fatigué, le Parnasse à pris des vacances, le Parnasse avait aussi autre chose à foutre et le Parnasse vous emmerde.
Bref, le Parnasse va reprendre ses activités habituelles, avec plus de lenteur toutefois (certains s’en plaindront, d’autres s’en réjouiront), mais le Parnasse ne risque pas de crever demain sauf si le Parnasse passe sous les roues d’une voiture, et puis, le Parnasse à des exams aussi.

Bon, retournons donc à l’expérience sociologique.
La fin fut très confuse et le résultat est mitigé quand au succès de l’expérience.
Nous pouvons déjà remarqué qu’un des boulets multi-compteurs à eu son comportement radicalement changé pour devenir celui d’un membre de bonne qualité. C’est une bonne chose, mais en contrepartie, l’un des boulets réfractaire c’est montré plus virulent (s’alliant même à un autre boulet de grande envergure).
On peut donc dire que c’est un demi-échec, ou un demi-succès vu qu’au moins un boulet fut… argh… converti, même si les experts pensent que ce n’est qu’une feinte ; cela voudrait donc dire que tous les membres de quelques qualités sont en fait des boulets en puissance ? une conspiration du lobby des boulets ? Ce serait là une inquiétante conclusion.

Mais revenons au boulet en lui-même, cet étrange être qui terrifie les fora en quête de quelque chose (mais certainement pas d’intelligence).
Le boulet n’est pas un être clairement identifiable par des mimiques, certains sont plus vicieux que d’autres.
En clair, le boulet, c’est surtout la personne que l’on aime pas, que l’on déteste, et donc, que l’on considère comme tel afin de le dénigrer.
Toutefois, ce n’est pas un acte d’ostracisme que d’en vouloir au boulet, le boulet à son propre fonctionnement qui ne correspond pas à vous ou à une communauté, donc, un étranger qui de surcroît fait tout pour être irritable.
Le boulet est donc néfaste pour votre santé car il créer une contrariété, donc, il est vital de virer le boulet par tout les moyens (le bannissement est une solution radicale).

Il faut toutefois le différencier des noobs (eux même à différencier des newbies) ; ces petits êtres à la population trop abondante qui peuvent soit devenir des membres de qualité (cela demande temps et travail), soit, horreur, deviendront une horde de boulets par fainéantise et par manque de curiosité (ils veulent tout, tout de suite).

Actuellement, le Parnasse théorise (et met en pratique) un nouveau système ; le transfert de boulet.
Les boulets sont compliqués ? Les boulets ne sont pas sociables ? Les boulets sont des parasites qui s’accrochent à vous ?
Que faire pour s’en débarrasser ?

La réponse est simple et évidente, elle demande en plus un minimum d’effort, il suffit juste de rediriger un boulet vers une autre communauté, c’est une véritable panacée.

C’est comme la bonne vieille blague de redirection vers JV.com, mais là, ce n’est plus une blague, faîtes le vraiment et ça marchera (n’oubliez pas tout de même quelques arguments percutants qui les contraindront à aller vers d’autres contrées lointaines).

Cela deviendra sûrement le nouveau trafic de cerveau (bien que ce soit un mot bien trop fort), mais au moins, vous n’aurez plus à vous en faire de leur survie dans le monde du making, ils ne seront plus sous votre juridiction, ce n’est plus votre problème (mais ça risque d’en être un pour le forum nouvellement parasité).